press

 
Sebastian Kann writes about the performance backs boxes towels in New Dramaturgies Platform
 
‘Backs boxes towels’ is a performance which invites us to dwell on surfaces — on a strip of wallpaper, a screen, the outside of a box, the exterior of a body, a fluorescent headscarf. It brings the surface to the forefront by staging translations or relations between inside and outside which are troubled or troubling. Stuff passes through the surface only insofar as it marks what is not revealed, what is not allowed through, or indeed what might or might not even be waiting for us at all were we (the spectators) to somehow gain access the other side of things…Backs, boxes, towels  is just as much a conceptual endeavor as it is a sensory and aesthetic one. As sounds washes, movement resonates, and light blooms, it’s clear that the moments at which some kind of conceptual interpretation crystallize don’t have priority over those in which interpretation fails and perception misses its mark. Given the rapid-fire combativeness and parochialism of our contemporary public sphere, which runs on quick judgment, Kefirova’s piece feels like a necessary tonic — and a delectable one at that.’
 
 
VENDREDI 18 NOVEMBRE 2016

|Catherine Lalonde | Danse

 http://www.ledevoir.com/culture/danse/484515/danse-les-spectacles-invisibles

The Only Reason I Exist Is You, also : Why Dogs Are Succesful On Stage ?

 D’une rare et lumineuse intelligence.

Cette finesse, cette délicatesse, cette intelligence de savoir offrir plutôt que de vouloir gaver se retrouve dans la nouvelle oeuvre de Maria Kefirova. … la pièce propose des diffractions et des superpositions de perceptions fort intéressantes.

Quelques spectateurs se succèdent sur scène, et c’est magnifique de voir en gros plan ce moment où ils passent d’une contenance, sachant que leur image est vue, à de la pure curiosité face à cette danse intime qui leur est donnée. Une pièce différente pour le 1 % de la population qui ose monter sur scène (et que j’imagine privilégié) ; et magique pour le 99 % qui préfère l’anonymat de la foule. On sent, par les yeux des autres, que les quatre interprètes sont d’une belle générosité ; elles arrivent à créer une île aux sirènes contemporaines, aseptisée mais mystérieuse, inquiétante et invitante, étrange et hypnotisante.

Cracking Nuts

By Philip Szporer February 18, 2014

http://www.thedancecurrent.com/review/cracking-nuts

Kefirova’s achievement in The Nutcracker is not only the discovery of the walnut’s outer core and inner meat – it represents, on a poetic level, the cracks and fault lines that can exist within the body. Resonance is explored as a physical, bodily surface that responds to external vibrations and sounds as well as its own frequencies. The stimulation that Kefirova exposes in this challenging work is individual, powerful, subtle and personal.

Kefirova’s compelling cross-disciplinary performance and art practice reverberates with her research into affective complexities.

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RÉVERBÉRATIONS DU CORPS, RÉVERBÉRATIONS SONORES

Df danse Publié le 31 janvier par Audray Julien

http://www.dfdanse.com/article1720.html

La chorégraphe Maria Kefirova nous transporte dans un univers qui semble de prime à bord mécanique, pratique, mais qui saura se raffiner, s’illuminer de par ses images singulières et épatantes. On retrouve dans sa nouvelle création, The Nutcracker, une utilisation du son avisée, des éléments scéniques étonnants et une présence phénoménalement fine. Le tout se révèle comme un must à voir, à Tangente, du 30 janvier au 2 février.

…on s’évade un moment, dorénavant épurés et reconnectés. On peut se retrouver dans ce sentiment de plénitude, comme après un bon et long voyage.

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THE NUTCRACKER

SYLVAIN VERSTRICHT LOCAL GESTURES 31/01/2014

http://www.localgestures.com/dance/the-nutcracker-une-critique

Elle n’utilise pas le son pour meubler le silence comme le fond maints spectacles, mais pour matérialiser l’invisible.

La chorégraphe continue de fasciner. The Nutcracker est le spectacle de danse le plus solide que j’ai vu au cours des derniers mois.


Le Devoir, 20 novembre 2015, Nayla Naoufal

http://www.ledevoir.com/culture/danse/455838/paradis-mode-d-emploi

La création à quatre mains est une pièce performative minimaliste, à la fois verbeuse et contemplative, qui fait un pied de nez à la notion de paradis et nos attntes avec. Brillant, inventif et solide, mais éprouvant à force d’austérité.”

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Le Devoir, 19 mars 2015 Nayla Naoufal

 Memory of a Shadow de Jean-François Laporte en collaboration avec Maria Kefirova.

 http://www.ledevoir.com/culture/danse/435072/paysages-sensoriels-pour-corps-tout-ouie

….la pièce cultive l’amplitude du souffle et de l’imagination, la délicatesse de l’écoute flottante de corps devenus auditifs. Un coup de maître pour des artistes qui pratiquent avec brio le décloisonnement.

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Talons aiguilles et noix de Grenoble

VIOR, Montreal 31 JANVIER 2014 par NAYLA NAOUFA

Avec The Nutcracker présenté à Tangente, Maria Kefirova livre une réflexion ingénieuse sur la performativité du quotidien, où on rit à gorges déployées.

Basée sur un travail exigeant de recherche, la création de Maria Kefirova n’en est pas moins jubilatoire et accessible à une diversité de publics.

Le Devoir Catherine Lalonde Montreal, 11mai 2012

“Le coup de coeur, ça semble chauvin, va à Maria Kefirova de Montréal pour son Corps. Relations. Que sa tête sur écran télé, qui parle de corps. Jusqu’à ce qu’elle arrive, tenaillée d’un hoquet, ce mouvement involontaire s’opposant à toute pensée, tout contrôle. Une pièce conceptuelle et personnelle, réfléchie en ses recoins mais respirant, d’une intelligence cristalline.”

The Dance Current
Shifting Ground, Growing Concepts
Montréal: February 25-28, March 4-7 and 11-14, 2010
by Philip Szporer

“In “Corps.Relations”, Montréal-based Maria Kefirova’s superb interplay of dance, video, objects, and text is a fascinating investigation of how the body is perceived in a concrete manner, i.e., what’s visible or what’s explained, and what is not (internal activations, internal dynamics/functions of bone and sinew, or pure functionality).

Bettina Forget review of Corps Relations at Movement

Museum radio show broadcast on March 11,

2010, CKUT 90.3 FM, Montreal.

“Maria’s piece Corps. Relations really blew me out of the water.
She is Montreal’s own Laurie Anderson. The woman is a genius.
Her piece basically express the entirety of the body, including its met reality. What we make of the flesh and bones and its movements, emotions and the function of the body. So it was totally focused on everything on what the body is about….”
( entire review at http://www.archive.org/details/20100311 , from 00:39:40 till 00:46:00)

MouVoir
Publié par Cathy De Plée
vendredi 26 février 2010

« La danseuse dit dans le programme faire “un duo entre son corps et sa tête”.
Et c’est bien ce que l’on voit. La proposition est forte mais ne se contente pas d’elle même. Le mouvement très présent (allant des hocquets convuslifs, à la démonstration de figures techniques parfaitement maîtrisés) et les différents états de corps ne s’éclipsent jamais, ils soutiennent, encadrent, nourrissent, renforcent la réflexion, entretenant avec elle une relation à rebondissemnents. S’il s’agit d’une danse conceptuelle ici, elle n’est en tous cas pas désincarnée. »

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